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En savoir plus sur nos cookiesQui êtes-vous ? Un musicien qui souhaite signer avec une maison de disques ? Quelqu’un qui rêve de devenir une rockstar ? Une personne souhaitant travailler dans le secteur de la musique ? Un fan curieux ? Un mélomane en quête d’histoires ? Ce guide est pour vous !
Car avec la compréhension, vient l'émancipation ! Que vous soyez auteur-compositeur, DJ, membre d’un groupe ou soliste, vous allez comprendre comment la musique arrive aux oreilles de votre public.
Nous vous dévoilons tout ce qu’il y a à savoir sur les labels et maisons de disques, leurs histoires, leurs structures, les grands noms et les contrats qu’ils proposent aux artistes…
Un label de musique, c’est avant tout une entreprise qui produit des artistes. Son but est de trouver de nouveaux talents et les accompagner dans leur processus d'enregistrement de leurs projets, la commercialisation de leurs œuvres et le développement de leur carrière.
Les maisons de disques sont des entreprises, grandes ou petites, qui fabriquent, distribuent et promeuvent les enregistrements de musiciens qu’ils ont "signés". Les maisons de disques travaillent essentiellement autour de la vente, non pas exclusivement des disques, mais de la marque de l'artiste, son image. Elles se composent d’un grand nombre de départements qui explorent toutes les facettes de l’Industrie et la manière de rendre un musicien rentable.
Ils sont très similaires, voire totalement identiques. Mais la richesse du français permet d'en dégager une petite distinction.
Une maison de disques prend en charge la conception et la fabrication des œuvres musicales, comme le pressage d’un album et sa distribution. Alors que les labels sont une marque de fabrique qui travaille autour d’une image et d’une identité musicale. Les deux accompagnent un musicien dans la gestion de ses productions. Mais le label a tendance à révéler un artiste alors que la maison de disque le propulse.
Un label peut vous donner un contrat avec une maison de disque, une maison de disque connu peut avoir ses propres labels. Il est généralement plus facile d'intégrer une maison de disques qu’un label en particulier. Car la sélection à l'entrée repose sur des détails plus stricts que le talent, il faut aussi partager une vision commune avec le projet du label. Mais un vrai bon contrat avec une maison de disque reste le synonyme de réussite absolue dans l’industrie musicale, et ce, même à l’air du streaming.
Ne soyez donc pas surpris si les deux termes se confondent au cours de cette lecture
Les labels indépendants fonctionnent de la même manière que les grands labels. Au vu de leur taille, ils ne disposent pas des mêmes moyens techniques et humains, ils externalisent donc de nombreuses responsabilités comme les relations publiques. Cependant, moins tournés vers le profit, ils offrent plus de liberté aux artistes, des contrats moins contraignants et un regard moins critique sur leurs œuvres.
Il faut avoir un projet musical cohérent, construit avec vos propres moyens et dans lequel vous avez engagé beaucoup d’efforts aussi bien dans l’approche de la perfection musicale que sa communication. Cela démontre un savoir nécessaire de l’industrie et un professionnalisme vecteur de confiance. Car les maisons de disque ne cherchent pas seulement des musiciens talentueux, mais des collaborateurs fiables et avec une vision.
On ne gravit pas une montagne en commençant par le sommet. Les maisons de disque attendent une fanbase et une présence solide sur les réseaux avant d’engager des discussions. Cette popularité est pour eux une garantie de clients potentiels s’il signe l’artiste. Donc, le secret : devenir incontournable.
L'enregistrement sonore né en 1877 avec le cylindre phonographique qui apparaît en même temps que l’invention du phonographe par Thomas Edison. L'ancêtre du disque enregistre les sons sur un cylindre recouvert d'une feuille d'étain. L'Opération longue et délicate rend chacune de ces œuvres uniques et il n’en subsiste presque plus aucune aujourd’hui.
Ce n’est que dans les années 1890 qu’il devient possible de dupliquer les cylindres et les premiers disques à grande échelle. C’est le début d’une production massive d’enregistrements à des fins commerciales.
Français, Britanniques, Allemands et Américains se ruent sur ce nouveau marché pour instaurer un leadership mondial et encore d'actualité. C’est le début d'une vaste opération qui s'étend aux quatre coins du globe avec l’instauration de filiales destinées à récupérer les meilleurs enregistrements que les artistes locaux puissent offrir, afin de les exporter et de les importer vers de nouveaux publics.
Juste avant la Première Guerre mondiale, le tourne-disque devient populaire et de coutume, même dans les lieux les plus reculés de la campagne. La demande atteint donc son paroxysme et l’industrie poursuit son développement avant d'être stoppée net par la Grande Guerre.
La société britannique Gramophone Co. aurait réalisé plus de 200 000 enregistrements en provenance des pays d'Europe, d'Asie et d'Afrique du Nord, et cela entre 1898 et 1921 : un record pour l'époque, mais pas assez pour faire un disque d'or aujourd'hui (500 000 unités vendues) !
Sans surprise, pendant la guerre, les ventes ont chuté, mais la musique finit toujours par se frayer un chemin. De nouvelles maisons de disques a plus petites échelles émergent du chaos pour concurrencer les grandes, malgré leur manque de moyens technologiques, car enregistrer reste très coûteux à l'époque. La Finlande, le Danemark, la Norvège ou en Irlande tentent de s'émanciper dans les années 30, mais dépendent encore des grandes compagnies américaines, britanniques et de leurs ressources.
La dépression économique mondiale arrive sans frapper au début des années 1930. En parallèle les premiers « clips », films sonores, et la radiodiffusion offrent de nouveaux moyens au public de se procurer des échantillons musicaux sans assister à un live. Ils font chuter de 90% les ventes de disques en comparaison avec la décennie précédente.
De nombreuses maisons de disques mettent la clé sous la porte et la Seconde Guerre mondiale n’arrange rien. Les maisons de disques devront attendre 1950 pour retrouver des performances similaires à l’entre-deux-guerres.
C’est l'arrivée des disques à micro rainures, plus simple de manufacture et avec une durée d'écoute prolongée qui fait renaître la demande de disques. Du côté des studios, l'introduction de la bande magnétique permet de simplifier le processus d'enregistrement. Il devient plus facile pour les artistes de sortir leurs EP.
En 1960 les lecteurs de cassettes sont introduits sur le marché mondialement. Ils deviennent rapidement populaires aux quatre coins du monde. Les Occidentaux ne sont pas les seuls à être friands de cassettes, les pays arabes et asiatiques se les arrachent. Les musiciens rêvent désormais d’exporter leurs cassettes le plus loin possible, au grand plaisir des maisons de disques et labels de musique.
Mais avec les cassettes arrive le premier grand concurrent de l’industrie : le piratage. La duplication d'œuvre devient une opération accessible alors que la législation sur le droit d'auteur et de la propriété intellectuelle a pris du retard par rapport au développement technologique.
Si des milliers de maisons de disques existent, la plupart des disques produits sur les 5 continents sont réalisés par une douzaine d'énormes sociétés internationales. Ceci est le produit d’une histoire qui favorise les pionniers de l’industrie. Par exemple, EMI, la deuxième plus grande maison de disques au monde, descend de la Gramophone Company qui a été fondée en 1898.
Le terme « Major » désigne les 3 maisons de disques et leurs principaux labels qui règnent sur la quasi-totalité de l’industrie. En 2016, les « trois grands » détenaient près de 70% de la part de marché mondial de la musique enregistrée : Universal Music Group (28,9%), Sony Music Entertainment (22,4%) et Warner Music Group (28,9%).
Les principaux labels d'Universal Music Group sont Interscope Geffen A&M Records, Capitol Music Group, Republic Records, Island Records, Def Jam Records, Caroline Records, The Verve Label Group. Divers labels internationaux viennent également compléter cette liste.
Universal Music Group est une société américaine détenue majoritairement par le conglomérat de médias français Vivendi et la société technologique chinoise Tencent. Son siège social mondial est situé à Santa Monica, en Californie.
Leurs plus gros contrats sont Taylor Swift, Post Malone, Billie Eilish, Queen, Ariana Grande, Drake, Lady Gaga, The Beatles, Johnny Halliday.
Les principaux labels de Warner Music Group sont Atlantic, Warner Bros. et Parlophone.
Warner Music Group est une maison de disque américaine détenue majoritairement par Access Industries, la multinationale du milliardaire ukrainien Len Blavatnik. Son siège social mondial est situé à New York.
Leurs plus gros contrats sont Ed Sheeran, Madonna, Coldplay, Prince, David Guetta, Metallica, Led Zeppelin, Rolling Stones.
Les principaux labels de Sony Music Entertainment sont Columbia Records, Epic Records, RCA Records, Sony Music Nashville et Provident Label Group.
Sony Music Entertainment est une société de musique mondiale américaine du groupe Sony Music qui appartient en dernier ressort au conglomérat japonais Sony. Son siège social mondial est situé à New York.
Leurs plus gros contrats sont Michael Jackson, Shakira, Beyonce, Mariah Carey, Celine Dion, Whitney Houston, Pink Floyd, Mylène Farmer.
Vouloir signer avec une maison de disques est une chose, mais savoir réellement ce qu’elle regroupe sous son toit, c’est comprendre tous les outils mis à disposition d’un artiste une fois que celui-ci signe un contrat.
Comme la plupart des grandes entreprises, si une maison de disque est une pyramide, l’ultime pierre au sommet de l'édifice est le conseil d'administration et les dirigeants comme le président et le vice-président. Ce sont eux les pharaons de l’empire. Ils rencontrent régulièrement les porte-paroles de tous les labels qu’ils regroupent afin de trancher sur les décisions les plus importantes.
Intérêt principal pour l’artiste : La rentabilité
C’est là que tout commence ! Le département Artiste et Répertoire (A&R) sont les enquêteurs d’un label. La branche d'une maison de disques qui est chargée de trouver de nouveaux talents et, surtout, de les convaincre de signer chez eux.
Cachés dans le public lors d'un concert ou derrière un profil anonyme sur les réseaux sociaux, ils surveillent attentivement les perles qu’ils ont dénichées. Ils ne se concentrent pas seulement sur la qualité de leurs maquettes, mais aussi leur comportement, comment ils se présentent, quelle image ils véhiculent, leur professionnalisme...
Ils font preuve d'énormément de patience avant de se dévoiler à l’artiste pour mener des négociations entre eux et le label qu’ils lui prédestinent.
Intérêt principal pour l’artiste : La créativité
Le département marketing d'une maison de disques s'occupe de la promotion des artistes via des campagnes de presse, l’affichage des tournées, la promotion des sorties d’album, et de tout ce qui est vendu en produit dérivé.
Une équipe marketing identifie le public d’un artiste et regroupe des données démographiques afin de pouvoir cibler les campagnes de vente et de promotions. Ils identifient le meilleur moyen d’atteindre les fans.
Intérêt principal pour l’artiste : Son public
Si le département marketing cible les fans déjà existants, le service des publicités essaye d’en trouver de nouveaux. Comme dans toutes les industries, la publicité a pour but de faire connaître un produit ou d'accroître la connaissance à son sujet. Sauf que dans ce cas il ne s’agit pas d’un produit, mais d’un artiste.
Les médias sont leur champ de bataille. Un publiciste va devoir trouver un maximum d'opportunités pertinentes pour qu’un musicien fasse sa promotion sur les réseaux sociaux, la télévision, la radio et aujourd’hui les sites de streaming. Dans le monde du football, ce sont eux qui essayent de mettre Messi ou Ronaldo sur la couverture du prochain FIFA.
Intérêt principal pour l’artiste : Sa popularité
Le département des nouveaux médias est, comme son nom l’indique, nouveau. Il est le fruit d’une adaptation nécessaire de l’industrie face à l'essor des plateformes de streaming et des nouvelles formes de communication qui apparaissent presque annuellement. Leur but est que les stratégies de communication d’une maison de disque ne deviennent jamais obsolètes.
Intérêt principal pour l’artiste : Ses supports de communication
Il existe plusieurs versions d’un seul ouvrage musical. La version originale, la version remastérisée et les versions radio et télé. Le département des promotions veille à ce que tous les formats adéquats existent afin de les distribuer à toutes les radios et chaînes télé en respectant leurs chartes éditoriale et éthique. Aujourd’hui il s'intéresse aussi aux playlists proposées par les plateformes de streaming.
Intérêt principal pour l’artiste : Sa diffusion
Le service créa est responsable de l'esthétique des graphiques impliqués dans les ventes, la publicité et d'autres facettes de l'industrie. Ils répondent à la demande des services marketing et de promotion en leur offrant des supports graphiques (sets, pubs, emballages, design, maquette vidéo) pour leurs campagnes. Ces derniers doivent aussi bien respecter l’image que promeut l’artiste et satisfaire l'œil de son public.
Intérêt principal pour l’artiste : Son image
Dans une maison de disques, le département de production orchestre la fabrication des disques et de leurs emballages. Ils sont soumis à un calendrier de sortie très stricte et doivent anticiper le nombre d'unités qui seront vendues. Car toute la stratégie des départements vus ci-dessus dépendent du lancement du produit dont le département production à la charge.
Intérêt principal pour l’artiste : Son disque
Le service des ventes et de la distribution joue le rôle d'intermédiaire entre le service de production et les distributeurs. Ils gèrent la prise de commandes et s'assurent de la disponibilité du produit.
Intérêt principal pour l’artiste : Ses commandes
Ce département est réservé aux plus grands. Il concerne les artistes qui ont connu du succès dans plusieurs pays ou territoires. La dimension de leur travail est plus d’ordre légal que commercial. Le département international a la responsabilité de la protection des droits d'auteur qui dépend de juridiction locale. De plus, les contrats internationaux demandent des contrats avec de nombreuses infrastructures sur-place pour gérer la production, la distribution et la promotion. Donc leur but est de s’assurer que les stratégies des autres départements sont respectées à l’étranger.
Intérêt principal pour l’artiste : Son exportation
L’existence et le bon fonctionnement d’une maison de disque reposent sur la vente et la distribution des œuvres de ses artistes. Le département de développement de l’artiste est le seul qui ne s’occupe pas de la distribution, mais de celui qui livre le produit. Il s’occupe d’une facette plus humaine en améliorant son image de marque, sa présence sur les réseaux, en les guidant dans ses prises de position et ses engagements. Cependant, ce département est aujourd’hui en voie de disparition, car les musiciens et DJ préfèrent déléguer cette responsabilité à des organismes ou personnes de confiance extérieurs aux maisons de disque. Aussi, beaucoup préfèrent arborer une image indépendante pour éviter d'être étiqueté comme un produit de maison de disque à leur tour.
Intérêt principal pour l’artiste : Sa personne
Pour réussir à se faire repérer par une bonne maison de disque, il faut avoir accompli un travail préliminaire de grande qualité avec plusieurs morceaux originaux et auto-promus sur les plateformes et réseaux. Ces maquettes devront être produites dans des studios d’enregistrement. Puis, il vous faudra contacter par divers moyens des producteurs de maisons de disque.
Le meilleur moyen d’entrer en contact avec une maison de disques se fait par l'intermédiaire d'un directeur artistique lors de l'édition de la maquette de votre projet musical. Il n’y a aucune garantie, mais cette porte est la plus empruntée par les artistes, car les maisons de disque préfèrent sélectionner qu'auditionner.
Il ne faut jamais oublier qu’une maison de disques est une entreprise et qu'à ce titre elle est intéressée non pas par l'œuvre, mais par le profit qui reviendra à ses labels. Les deals posés sur la table sont généralement tournés à leur avantage, la négociation demande donc une attention particulière.
Le principal élément d’un « deal » avec une maison de disque c’est la somme touchée par un artiste par unité vendue. Les redevances générées par l'enregistrement sont globalement captées par la maison de disque, mais l’artiste doit aussi pouvoir voir cet écart comme un investissement sur son avenir. En effet, en échange, les artistes peuvent bénéficier d'un vaste réseau de relations professionnelles, de campagnes de marketing spécialisées et d'une pléthore d'autres services que nous avons précédemment listés.
Il existe quatre clauses essentielles pour comprendre le contrat de disque :
Le contrat de disque stipule qu’en plus d’une partie de ses droits sur l'œuvre, le musicien ou DJ doit fournir ses services d'interprètes pour le bon fonctionnement de la promotion. Mais un producteur n’a aucun intérêt à investir sur un profil volatile. Ainsi, pour créer un projet musical sur plusieurs années, capter l’essentiel des revenus et générer une marge de profits intéressante, il a recours à l'exclusivité.
L'exclusivité empêche l’ensemble d’un groupe de musique de fournir ses services d’interprètes à d’autres artistes ou productions. C’est un engagement de taille pour l’artiste qu’il doit prendre en compte avant la signature.
La durée d’un contrat de disque ne se calcule pas dans le temps, mais en nombre d’albums ou d’enregistrements. L’artiste garantit à la maison de disque qu’il livrera un certain nombre d'œuvres avant son départ ou une renégociation.
Une fois le contrat signé, toutes les œuvres qui font office d’indicateur temporel appartiennent donc à la maison de disque. C’est pourquoi, limiter la durée, permet à l'artiste d’avoir une porte de sortie s’il se retrouve en désaccord avec la production. La durée est aussi un motif important de rupture de contrat. Si l’artiste ne remplit pas ces promesses, il encourt des poursuites.
Cependant, a contrario, un contrat longue durée offre un confort à l'artiste qui n’a plus à se soucier d’un grand nombre d'aspects de sa carrière. C’est à la fois une épée de Damoclès et une tranquillité d’esprit, car une fois le contrat signé, fini les longues heures de démarchage, il n’y a plus que la musique.
Comme Orelsan et Grung, évitez de vous retrouver avec un album "inachevé" et votre maison de disque qui vous court après. (Comment c’est loin - 2015)
Une clause rarement négociée, mais qu’un artiste a tout intérêt à obtenir. Négocier un budget c’est garantir que la maison de disque investira une somme minimale dans le projet de l’artiste. Pour les plus petites, cette somme dépend énormément des subventions ou des revenus générés par la vente du premier album.
Nous rédigerons prochainement un article au sujet de ces subventions.
Il existe deux manières de partager les revenus d’un album : le pourcentage de chaque album vendu et le partage des revenus nets.
Le pourcentage de chaque album vendu : Généralement situé entre 10 et 16 % du prix de grossiste (destiné aux distributeurs) après la récupération des coûts de production.
Le partage des revenus nets : Un partage des bénéfices après l’exploitation d’un album. Ici aussi, il faut soustraire les coûts de production et des coûts de commercialisation investis par la maison de disque.
Dans tous les cas, il est fortement conseillé de faire appel à une personne d'expérience dans le milieu et qui n’a pas d'affiliation avec la maison de disque. Un professionnel pourra vous guider vers le choix le plus réaliste et avantageux, car beaucoup de subtilités apparaissent dans cette section du contrat.
Vous devez avant tout vous assurer que vous obtiendrez un remboursement de vos dépenses personnelles et un calcul avantageux des bénéfices de la vente en fonction des projections de la maison de disque et de votre avis externe.
Vendre de la musique, c’est l’objectif d’une maison de disque, la faire vivre, c’est celui de l’artiste ! Le live reste encore l'expérience ultime pour public et interprète, un art qu’il faut encore et toujours pratiquer, même avec tous les appareils et interfaces qui cantonnent l'écoute à une expérience individuelle.
Découvrez nos autres articles au sujet de la professionnalisation des artistes :
Avant leur nouvel album sortit du studio d’enregistrement et la signature d’un contrat avec une maison de disque, chanteurs, compositeurs, musiciens de tous les genres (punk, blues, hip hop, electro, funk, folk, soul...), les jeunes artistes de musiques actuelles et de musiques classiques ont besoin de pratiquer la scène et de spectacle vivant. Et comme tout bon travail mérite salaire, Linkaband, offre aux professionnels du secteur musical des plans concerts !
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