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En savoir plus sur nos cookiesLinkaband, havre de paix pour les DJ professionnels, vous offre un tour d’horizon des meilleures artistes féminines et de leurs platines.
Dans l’univers de la musique électronique, Nina est l’une des impératrices. Djette et productrice depuis 2012, elle est également à la tête de son propre label « Trip » depuis 2014. Nina Kraviz est à la recherche d’un son brut accentué par de légères distorsions. C’est dans ses délicieuses petites imperfections musicales qu’elle nous raconte une histoire. C’est en tout cas ce qu’elle défend dans le magazine Billboard : « Je n’aime pas la musique propre et sans fin (…) J’aime vraiment la personnalité... Il devrait y avoir quelque chose qui se passe... C’est ce qui la rend unique et intéressante. » Elle est aujourd’hui une tête d’affiche incontournable des grands festivals.
Son vrai nom est Alexandra Margo Sholler, mais sur scène ce n’est nul autre que la fantastique Alison Wonderland. Une productrice, Djette et chanteuse de musique électronique australienne à l’origine d’un ouragan dans l’industrie musicale.
Son premier album Run est sorti le 20 mars 2015. Il n’a pas tardé à se positionner en 6e position du Top 50 australien ARIA. Et elle ne s’est pas reposée sur cette victoire ! Son deuxième album, Awake, a décollé vers la première position du Top Dance/Albums électroniques de Billboard. En 2018, elle a été classée au 96e rang des 100 meilleurs DJ du monde selon le classement DJ Mag et poursuit son ascension jusqu’à la 44e en 2019.
Elle est également la Djette la plus facturée de l’histoire du festival Coachella. Une petite victoire dans un monde où les femmes dj artistes restent moins payées que les hommes, et ce, pour le même type de performance scénique.
Un monstre de travail. La productrice a sorti huit albums depuis 2001 et a fondé son propre label : le BPitch Control qui a couvé des artistes comme Modeselektor, Apparat et Paul Kalkbrenner. Son mélange de techno et d’électronica expérimentale fait d’elle un joyau de la musique berlinoise. La capitale allemande restera le grand amour de sa vie, celui qui l’a propulsé sur les scènes du monde entier, grâce à l’album qu’elle lui dédie : son premier album Stadkind.
Ancienne Djette résidente des célébrissimes boîtes de nuit comme le Bunker, le Trésor, et le E-Werk, Ellen Allien est désormais une référence incontournable pour toutes celles et tous ceux qui se sont un jour vantés d’aimer la techno.
Mariana BO est la femme DJ la plus suivie d’Amérique latine. Cette musicienne et productrice née à Culiacán au Mexique, exécute un projet qui fusionne musique électronique, violon et percussions live ! Sa maîtrise instrumentale et ses talents de compositrice lui ont permis de se faire une place dans la prestigieuse liste des 100 meilleurs de DJ Mag. Selon ce classement référence, elle est actuellement la 49e DJ à absolument devoir faire le voyage jusqu’à vos oreilles.
Le nom Tokimonsta provient du mot coréen pour lapin (tokki). Cette fabuleuse artiste aurait emprunté son surnom à la chanson coréenne pour les enfants « San Toki ». Après un début de carrière dans l’univers du jeu vidéo, elle devient la première artiste féminine à avoir rejoint le label Flying Lotus.
En 2010, elle sort son premier album Midnight Menu qui précède Half Shadows sorti avec Ultra et Desiderium porté par son propre jeune label Young Art Records. Elle organise régulièrement des événements dans le Koreatown de LA, quartier qui fait écho à ses origines.
Annie Mac est une enfant du monument BBC. Elle anime actuellement le programme Future Sounds de Radio 1 BBC. L’émission est diffusée du lundi au jeudi de 19 h à 21 h, et présente à l’audience les sons dance-pop, du hip-hop, du rock et de l’indie qui seront sur toutes les playlists le lendemain.
Son ascension a lieu en 2004. L’animatrice irlandaise surgit de nulle part et utilise son goût impeccable de la musique pour se prononcer sur les futurs hits en devenir. En 2006 la production finit par lui donner des platines et le résultat fut plus que satisfaisant.
Eh non, il ne s’agit pas de la célèbre cathédrale de Chartres. Disons que ce monument est plus contemporain et qu’il produit bien plus que le son des cloches ! Marea Stamper, a. k. a. The Black Madonna est née des cendres d’une jeune lycéenne en échec scolaire à cause de son apparence « non conforme ». Elle a commencé par vendre des mixtapes de DJ underground avant de rejoindre la table des « turntablists » (style old school des scratchers de platines).
Francesca Lombardo s’est d’abord fait un nom dans les nuits de Londres sous le pseudo Jackie Misfit. Membre du prestigieux conservatoire d’Italie, elle est également reconnue pour son excellente maîtrise du piano et des techniques vocales du chant. Elle sort son premier EP, Changes, avec Crosstown Rebels salué par la critique. Son succès lui permet d'obtenir un ticket pour le mythique Burning Man.
Très engagée dans les débats féministes, elle prend la parole lors du sommet international de la musique à Ibiza en 2013. Elle y anime un panel sur le sujet « empowering women in music and how women survive in a predominantly male industry ». Une discussion autour de la place de la femme dans l’industrie musicale et comment la musique donne une voix aux femmes.
Ces jumelles australiennes comptent parmi les femmes les plus populaires de l’Industrie musicale. Parmi la longue liste de leurs succès, Olivia et Miriam sont à l’origine du deuxième morceau le plus célèbre de David Guetta. En 2009, elles écrivent pour lui « When Love Takes Over » avec lequel il raflera le Grammy de cette année-là. Elles sont aujourd’hui les femmes djs les mieux payées au monde selon le magazine Forbes. Une réussite rendue possible grâce à la star Britney Spears qui leur fait une place en première partie de sa tournée. Leur premier album, Collateral, est sorti en 2015.
À seulement 25 ans Anouk Matton, alias MATTN, est une star internationale de la musique électronique. Son style House épouse parfaitement les codes du festival Tomorrowland qui l’a accueillie sur sa scène en 2019. La jeune belge est à l’origine d’incroyables hits comme « Carnival » feat. Dimitri Vegas avec qui elle partage la scène et sa vie depuis 2017. Elle se positionne à la 51e position du top 100 djs de DJ mag.
Peggy Gou est née Kim Min-ji à Incheon, en Corée du Sud. Elle a commencé des cours de piano classique à l'âge de 8 ans. À 14 ans, ses parents l'ont envoyée à Londres, en Angleterre, pour étudier l'anglais. Elle est retournée en Corée à l'âge de 18 ans, mais six mois plus tard, elle s’envole à nouveau direction Londres pour y étudier la mode au London College of Fashion. Après avoir obtenu son diplôme, elle a travaillé comme rédactrice correspondante à Londres pour Harper's Bazaar Korea, puis a déménagé à Berlin, en Allemagne, pour vivre de sa vraie passion : la musique électronique !
Elle a sorti 7 EPs avec des maisons de disques comme Ninja Tune et Phonica. En 2019, elle décide de lancer son propre label indépendant, Gudu Records.
À l’origine, Blond:ish n’est pas le nom du duo de Vivie-Ann Bakos et Anstascia D'Elene Corniere, mais d’un projet de soirée DJ qui a fait vibrer la vie nocturne de Montréal dans l’antre du Cherry Nightclub. Bakos et son acolyte Cornière ont hérité de ce nom de scène par le bouche-à-oreille du public. Ils ont fini par adopter le nom de Blond:ish pour s’envoler vers Londres à la redécouverte d’un son toujours plus psychédélique !
Cette Autrichienne a réussi le rêve de nombreux DJs : obtenir un titre de résident dans la boîte de nuit la plus mythique du monde : Le Berghain.
Originaire de la ville de Gand en Belgique, Charlotte commence son incursion dans la vie électronique nocturne de sa ville dès 2009. Un an plus tard, elle est officiellement une Djette d’électro house et d’EDM. Après deux ans de performances souterraines, elle se lance dans la production pour gagner un concours lancé par un studio DJ de Bruxelles en 2011. De Bruxelles elle décolle vers des festivals comme Tomorrowland, Junction2, Boiler Room et Printworks.
Elle débute sa carrière en adoptant l’alias Raving George, un nom à la connotation volontairement masculine, pour ne pas être la victime des images négatives générées à l’encontre des DJs féminines.
Elle porte ce masque de lettre jusqu’en 2015, puis se présente au monde en arborant fièrement son nom. En affirmant sa personnalité, elle affirme aussi son style. Elle compose une techno épurée et agréablement crépusculaire, comme en témoigne des EPs comme Weltschmerz (Turbo Recordings), Heart of Mine et The Healer. L’année dernière elle remporte la statuette de la techno award des DJ awards, cérémonie tenue au paradis de ces artistes : Ibiza.
Avec le support de The Weeknd, Disclosure, ou encore M.I.A, des artistes qui n’ont plus rien à prouver, Anna Lunoe est promise à un bel avenir derrière les platines de Los Angeles où elle réside actuellement.
« La reine de Naples » ! Un livre de la musique électronique serait incomplet s’il ne faisait pas mention de ce porte-drapeau de la musique techno ! Faisant danser les foules avec une techno acidulée et un groove minimal, sa présence mélodieuse est un atout indispensable lors d’une soirée.
Née dans l’un des quartiers les plus sensibles de Naples, Vele di Scampia, la Djette, productrice et créatrice de label décolle depuis 10 ans avec une suite de succès internationaux contre toute attente improbable. Elle a commencé sa carrière dans l’industrie de la nuit comme danseuse, aujourd’hui c’est elle qui nous fait danser !
Fondatrice de la station de radio privée Kiss FM et Djette résidente au Watergate club, Anja est également une collaboratrice d’Ellen Allien et d’autres grands noms de la techno berlinoise. En 2000, elle laisse sa station pour Radio Fritz où elle anime l’émission Dance Under The Blue Moon. L’émission devient l’une des plus populaires de la musique électronique ! Tous les samedis, elle introduit les nouveaux grands noms qui viendront rythmer les nuits de la capitale allemande. Puis elle atterrit sur Radio Eins en 2017 dans l’émission Club Room.
En 2005, Schneider a fondé son propre label Mobilee Records et lance la carrière de Sebo K, Pan-Pot et Exercise One, entre autres. Elle le quitte pour son nouveau projet Sous Music en 2017.
La déviance et le franc parlé de l’électro française underground à son paroxysme. AZF est pour beaucoup le futur de la techno parisienne. Ses sets très sombres agrémentés de quelques « oasis de lumière » sont une réflexion de son passé qui la façonne comme une artiste inclassable et indétrônable. Une ado de banlieue contrainte de cacher son homosexualité dans un univers qui ne l’accepte pas. Comme beaucoup d’artistes, un profond sentiment de solitude l’a envahie, mais elle a su en faire une force. Malgré ses airs de bad girl, elle confie sur la chaîne Konbini avoir su apprécier les musiques de Dorothée, Gainsbourg et France Gall. On n’en attend pas moins d’une future icône de la musique made in France.
« Je ne prépare jamais mes sets, je vibre sur l’énergie de la salle et du dancefloor. C’est juste cette connexion magique où j’essaie d’emmener la foule en voyage ou de donner à la foule ce même exact sentiment que je ressens quand j’écoute mes musiques house préférées » confie Gina lors d’une interview.
Animatrice Radio et membre des labels Ultra, Ministry of Sound and Sound Pellegrino ; Gina Turner est aussi une mère qui brise les clichés sur le train de vie des DJs :
« Personne ne pourrait croire que Djette soit le meilleur job pour une mère, mais ça l’est. Parce que je peux passer mes journées entières avec ma fille (…) Être une mère et être une Djette c’est la même chose. Pendant un concert les membres du public deviennent mes enfants et j’essaie de leur donner les outils pour être heureux dans la vie et pour qu’ils puissent décoller tout seul. »
Une autre anecdote intéressante sur la djette : elle est instructrice et passionnée de Yoga « J’essaie toujours de démontrer le parallèle entre la communauté Dance Music et la communauté yoga. Parce que si on y réfléchit, quand des gens viennent dans un night-club, ils viennent, pour relâcher la pression peu importe la taille, la forme, la couleur et la nationalité, et ils bougent leurs corps et ils décompressent. Et dans un studio de yoga on fait la même chose, on ne sait rien de son voisin, mais on bouge avec lui.»
Le fabuleux mélange d’un père fan de metal et d’une mère organiste a donné naissance à Heidi et ses sonorités expérimentales qui électrisent les festivités nocturnes de Barcelone. Elle utilise sa propre voix en échantillon pour créer des mix inclassables. Ils sont enregistrés en composition instantanée, donc sans arrangement en post production. Cela donne naissance à une musique pure et unique, l’expérience la plus proche dans live à la maison.
La reine des nuits électriques de Stockholm. Elle explique lors d’une interview qu’« en hiver personne ne veut traîner dehors, donc on a tous le temps d’être créatifs chez soi. C’est comme un virus qui se propage d’une personne à une autre ». Une infection qui l’a rapproché de son compagnon Adam Beyer, qu’elle épouse lors d’une soirée dans le mythique temple underground berlinois du Berghain. Un engagement sans limites pour ce couple emblématique de la scène techno internationale.
Cette artiste live a été vue dans les plus grands festivals électroniques de la planète. Du Wavefront Festival de Chicago à l’Ultra de Buenos Aires en passant par l’Awakenings d’Amsterdam !
Mannequin égérie de G-Star et actrice aperçue dans des rôles de Bad Girl (Orange is the New Black, John Wick, Resident Evil, Batwoman). Elle surprend l’industrie musicale en s’attaquant à la scène DJ arborant un look de rock star. Cible de nombreuses critiques quant à ses capacités de mixer sans préenregistrer ses sets, elle reste néanmoins un symbole féministe et une activiste pour l’égalité des genres. Une lutte qui transparaît dans ses clips musicaux (comme ci-dessous). Cette sociale justice Warrior a plus d’un sujet à défendre : anti-harcèlement, LGBTQIA, le droit animal, et les problèmes de santé mentale sont sur son front d’artiste au quotidien.
DJ AniMe, est une étoile du monde hardcore qui a vu le jour dans les nuits de Milan en portant le nom de Radioactive. Elle signe en 2008 un contrat avec Traxtorm Records qui va mettre en lumière sa capacité à assembler des mix groovy avec des chants percutants et une inspiration d’industrial-darkcore. Detonate se positionne à la 5e place du classement du Top 100 hardcore.
Une vétérane endurcie de la french touch depuis les années 2000. Elle maîtrise aussi bien sa voix que ses platines pour créer des sons hypnotiques qui ne sont pas sans rappeler le rythme langoureux du jazz, du funk et du disco, mais avec un langage trash comme dans son célèbre EP « Frank Sinatra ». Dans son univers il y a du Kubrick, du Gainsbourg, du Laurent Garnier et un peu de Bowie enfermés dans un Madona. Un fabuleux cocktail pour une soirée underground !
En Israël, la musique électronique est une révolution ! En s’inspirant de ses traditions oubliées, elle donne une nouvelle voix aux minorités et aux artistes engagés. Tel-Aviv est maintenant l’épicentre de la musique du clubbing moyen oriental. C’est de là que vient Mor Elian, une jeune productrice et Djette israélienne avant de faire LA / Berlin, le pèlerinage classique du DJ moderne. Entre la house et la techno cette artiste reconnue est dans une quête perpétuelle de nouvelles sonorités pour son public.
Louisahhh !!! C’est à la fois un rugissement de guerre et un mugissement de plaisir ! Dès son plus jeune âge, elle s’incrustait déjà dans des soirées house et techno new yorkaise, munie d’une fausse carte d’identité. Dans le bain de sueur des années 90 elle développe sous sa patte un son « hard, mais profond, dur et tendre ».
Après un séjour en désintox, le phœnix renaît de ses cendres. Elle fait une rencontre clé pour sa carrière avec Louis Brodinski. Ensemble, ils vont donner naissance à Bromance Records. Une usine d’hymnes techno scandés par les boîtes du monde entier !
La techno existe à Tokyo et c’est grâce à Akiko Kiyama ! Une fabuleuse DJ et productrice de musique électro japonaise qui a déjà 3 albums à son actif et plus d’une trentaine d’œuvres chez les disquaires. C’est une grande habituée des prestigieux labels à la renommée mondiale comme MEAN, Contexterrior, Nervmusic…
Enfant, elle tombe dans le grand bain musical en apprenant à jouer Piano et Guitare sous leur noble forme classique. Une palette de couleurs musicales qu’elle remploiera sur les machines de guerre électro. La brutalité de son minimalisme robotique et sombre promet un voyage mental à son public.
La Polonaise doit beaucoup à son mentor Richie Hawtin avec qui elle arpentait et domptait les soirées DJ de Détroits. Quand celui-ci déménage à Berlin, Magda saute dans le même avion et depuis, elle est l’une des stars les plus convoitées par les oreilles de teufeurs européens.
Une artiste londonienne à double tranchant. Maya Jane Coles ne se cache sous aucun pseudonyme quand elle sort “What They Say” qui lui ouvre les portes des festivals comme Coachella, Glastonbury et Tomorrowland. Par contre, elle mène une double vie sous le masque du pseudonyme Nocturnal Sunshine qui délaisse la deep house au profit de la dubstep.
Originaire de Pheonix Arizona, elle se fait connaître en jouant au côté de Skrillex lors d’un set en 2014. À l’origine, sa passion c’était le chant ! Sa chorale a même fait une tournée au Canada et en France. Mais ses parents ne pouvant plus supporter économiquement son activité, Mija se tourne vers un autre chemin de vie. À l’âge de 17 ans, elle devient promotrice de concert. Si certains arborent la casquette du DJ, il faut croire que pour Mija c’est une couleur. Pour agrémenter son look de skateuse, ses cheveux prennent des multiples teintes quand elle se présente au-devant de la scène pour jouer de la Drum and bass et de la Happy Hardcore music et de la Disco House.
Comme beaucoup de DJs c’est d’abord pour des animations de mariage qu’elle fournit ses prestations, avant d’approfondir sa passion pour la French. Comme toutes les femmes de ce classement si leur carrière ne semble pas comparable aux chiffres récoltés par leurs confrères masculins, c’est par ce qu’elle nage à contre-courant dans l’industrie encore très hermétique de l’EDM. Mija est une porte-flambeaux pour les générations à venir et un talent à découvrir sur-le-champ !
Kateryna Kremko, ou Miss K8 sur l’affiche des festivals comme as Defqon 1 et Masters of Hardcore est une Femme DJ originaire de Kyiv en Ukraine. Elle doit sa célébrité à des performances live de music hardcore spectaculaire ! En 2018, elle arrive en première position du Masters of Hardcore Top 100 avec son track "Out of the Frame".
Marina est originaire de la banlieue parisienne. Très vite attirée par le monde des arts et de la musique elle poursuit ses études à l’École des Beaux-Arts de Bordeaux. C’est en Aquitaine qu’elle débute derrière les platines, avant son grand retour à Paris en 2014, avec un son hybride, une fusion entre la house européenne et américaine portée par des artistes comme Kerry Chandler. Sa signature est une rafraîchissante touche de piano qui s’immisce dans plusieurs de ses projets et lui ouvre les portes des boîtes parisiennes !
Nina Elizabeth Agzarian est l’une des nombreuses figures inspirantes de la musique électronique australienne en plein boom depuis l’ascension de Flume. Derrière son nom bling-bling se cache une animatrice radio et une artiste au grand cœur qui promeut les jeunes talents inconnus de son pays et finance des structures qui viennent en aide aux musiciens défavorisés.
Née en Pologne, Amourette a monté son QG à Brooklyn. Cette femme DJ éclectique recherche à développer le plus d’émotions possible sur un son limité en temps et en instru. Elle s'intéresse à l'espace dans l'électro, aux ondes synthétiques, aux distorsions psychédéliques, aux décalages, aux lignes de base profondes et aux mélodies indélébiles. Son truc à elle, c’est de jouer ce que personne n’ose jouer pour en dégager le talent brut.
Dana Dp ou Daniella Puscas de son vrai nom est une des perles underground de Bucarest. La Djette et productrice roumaine génère un son indescriptible tant il est inclassable. Une recette musicale qui fait d’elle une artiste remarquable. On retrouve quelques sonorités du grand est sur une bande-son minimaliste, juste de quoi faire décoller l’âme d’un amateur de techno parfaitement exécutée !
Promis au piano depuis l’âge de 4 ans, son cœur finit par se faire prendre dans le fleuve de la musique électronique. Djette résidente de Munich, elle ajoute des délicieuses épices latino, hip-hop et funk dans ses mix. Une recette qui la catapulte devant 185 000 festivaliers de Tomorrowland en 2015.
Quand elle n’est pas dans les clubs new-yorkais cette jeune artiste de deep minimal house originaire de Caracas au Venezuela, porte le nom de Marité Otéro. C’est dans la grosse pomme que la Djette et productrice de musique électro s’épanouit après avoir fini ses études dans l’industrie musicale à l’université de New York. Une carrière inspirée par son père qui l’a submergé dans un univers de musique classique dès son plus jeune âge. Ses sons groovy sont aujourd’hui accueillis dans tous les clubs les plus in de la ville qui ne dort jamais.
Mari.te travaille également avec RA+RE records. Un label « fondé par l'envie de créer un pont entre la mode et la musique. » Ce sont des femmes qui combinent leur passion et leur amour pour la musique avec leur vie quotidienne. Elles sont toutes uniques à leur manière, créatives, dynamiques, ce sont des rêveuses. Mais ce qu’elles aiment par-dessus tout, ce sont les choses simples comme danser sur de la bonne musique dans des vêtements qui leurs font se sentir belles et à l’aise ». Le label est exclusivement féminin et vinyle. Un bon endroit pour découvrir une nouvelle femme DJ, qui aurait été injustement omise de cette liste.
Sevil a commencé sa carrière de Djette dans sa ville natale, un coin de paradis de la côte égéenne d'Izmir. Sa maîtrise hors pair des platines lui a permis de voyager à travers le monde, de stations de radios en festivals, sans oublier, les meilleures boîtes de nuit européennes.
Son label, Petra Recordings, est à l’origine de la découverte de grands noms techno comme John Tejada, Swayzak, Joeski. Aujourd’hui, elle est basée à Berlin et proche du label Art Bei Ton où elle publie des sons inspirés de la techno de Detroit et de l’Acid techno. Une artiste à surveiller de près car des nouveaux titres encore plus groovy seraient en préparation !
Anaïs B est une Djette internationale et très engagée dans la cause féministe. Elle n’a peut-être aucun album dans les bacs, mais elle ne déborde pas moins d’un talent pour le live. La Parisienne a joué en Italie, à Genève, au Sénégal, en Côte d'Ivoire, au Bénin, au Congo, à Miami et New York, sans oublier, le Maroc et Dubaï. Très sollicitée dans l’industrie du textile et du cosmétique, elle a tourné pour la campagne Viva Glam de Rihanna dans un magasin de cosmétiques sur les champs Élysée et collabore avec des marques de mode et de luxe comme Guerlain, Le coq sportif, Adidas, BHV, Les Galeries Lafayette…
Elle est une grande habituée du festival AfroPunk à Paris, New York et Johannesburg. Elle est également animatrice sur la chaîne TV BET France. Entre la mode, la télévision et les festivals, Anaïs partage une idée : « La musique est ce à quoi ressemblent les sentiments » !
À mi-chemin entre la House et la techno, on perçoit les sons d’Eluize, tout comme sortie d’une autre dimension. En 2019, elle sort l’album Confide. Un recueil de mélodies à la fois euphorique et psychédélique, une lente descente sur la piste de danse pour se déhancher jusqu’à en perdre pied.
L’Espagnole n’a pas la trentaine qu’elle est déjà l’une des DJs les plus respectés de son pays. À Madrid elle fait ses armes avec des vinyles qui auraient pu être trouvés dans le Berlin des années 90 tout comme le Ibiza d’aujourd’hui. Allez tout de suite vous bercer de ses EPs Underground Love, Time out man, Hypnotique, Kashmir et Savannah>/i>, pour découvrir une nouvelle productrice qui déborde de talent.
À l’âge de 7 ans, les rues de Munich pouvaient déjà l’entendre jouer de la batterie. Cette grande amatrice de percussions est l'une des DJ femme les plus respectées de son pays natal et du Portugal où elle réside actuellement. Avec son EP "That’s right", elle fait un début en fanfare au côté du label Desolat X Sampler. Ce nouveau monstre du groove reprend des sonorités intemporelles avec des stars internationales comme Loco Dice and Martin Buttrich.
Née dans la ville de Nice, Jennifer Cardini est très vite tombée amoureuse de la musique made in France emportée par des légendes comme Laurent Garnier. Elle commence à mixer dans quelques bars sous la chaleureuse protection d’un soleil du Sud, avant de se faire prendre dans le filet de la capitale attirée par le club du Pulp où Sextoys lui propose de jouer avant la première techno parade ! Dans cette atmosphère gonflée de vibration techno elle devient résidente du Rex Club et vie aujourd’hui au plus près de sa musique : Berlin.
À seulement 25 ans REZZ est l’une des DJs les plus populaires du monde. Elle doit ce décollage fulgurant à Skrillex qui l’a repéré sur Twitter et ses collaborations avec Deadmau5 dans son label mau5trap. Née en Ukraine, c’est au Canada qu’elle grandit. Sa passion dévorante pour la musique électronique serait née au bord des chutes du Niagara. En effet, elle aurait été virée de son job au Hard Rock café local, après une cumulation d’absence pour se rendre à des festivals. Plutôt Rock'n Roll le changement durant la période de restructuration professionnelle !
Grande habituée de feu la Concrète, de la Machine du Moulin Rouge et du Rex Club, cette Femme DJ originaire de Bordeaux a fait ses premiers sets dans le Corsica studio de Londres et son premier album dans un studio parisien avec son coloc’. Aujourd’hui, il n’est pas rare de la croiser au Fuse de Bruxelles, au Berghain de Berlin et dans les Boiler Room d’Amsterdam. Une valeur sûre de l’électro française. Une perle rare dans un monde encore majoritairement masculin. Elle porte le nouveau répertoire pour une génération avide de musique moderne dans son apparat le plus robotique.
On l’appelle la « Reine noire de la techno ». L’artiste a voyagé entre le Nigeria, le Liban et Londres pour dévoiler son album Believe en 2013 qui le propulse dans les hautes sphères de la techno. Ses DJ sets sont d’une incroyable vitalité et son travail de productrice avec MOOD Records, d’une remarquable méticulosité !
Rubi ツ est aujourd’hui assise à la table des grands. En fait, ça fait 10 ans qu’elle s’est trouvé une chaise. L’Espagnole est dans une quête perpétuelle de vieux vinyles pour produire des mix toujours plus électriques et autant inclassables. Son style et sa technique font de son travail une invitation au voyage interdimensionnel. C’est une grande exploratrice de l’Electronica Old School qui ne revient jamais vers nous les mains vides !
La pianiste russe envoûte les sorties nocturnes des Londoniens depuis plus de 10 ans. C’est avec une audace appréciable qu'elle mêle ses registres classiques au groove moderne. Comme toutes celles qui composent cette liste, c’est en live qu’il faut la découvrir. Amateur de deep-house, techno et Nu-Disco, vous ne serez pas déçu !
Chloé Thévenin, est une ancienne étudiante de l’université Panthéon Assas. Après une série de sets au Batofar, elle devient résidente au Pulp. En 2005, elle crée le label Kill the DJ en compagnie de Ivan Smagghe. Guitariste émérite et fan de films c’est son intérêt pour les machines de son qui l'entraîne dans l’univers électro. Sa recherche de nouvelles sonorités frôle l’obsession. C’est ce qui conduit Chloé à se lancer dans l'analyse musicale, en travaillant aux côtés de l'Ircam (l'institut français de musique et de science du son). Elle développe un nouveau regard qui lui permet de lire l'électro comme personne. Elle développe une palette sonore inédite dans son troisième album, au titre aussi intellectuel que sa personne : Endless Révision (révisions éternelles). Ce dernier devrait bientôt sortir.
Mademoiselle Ely est une artiste disponible sur la plateforme Linkaband ! C’est au cours de ses multiples voyages et expériences qu’elle développe son identité musicale liée à la performance sur scène et cette volonté de partager ce qu’elle a entrevu dans ses recherches d’un son toujours plus parfait. Mademoiselle Ely ne fait aucun favoritisme quand il s’agit de style musical : musique urbaine, Rock, Blues, Soul, Funk, ils font tous partie de son répertoire. Mais c'est vers la House et la techno de la « french touch » que son cœur se tourne à l’heure quand l’heure est venue pour elle de produire une nouvelle peinture électro.
« Sa sélection est à la fois festive, surprenante, profonde et percutante, souvent même sensuelle. Elle aime les voix intenses et les drops explosifs. Au long de ses sets, on pourrait retrouver tout autant un titre de Daft Punk que d’Amélie Lens, un morceau rétro aussi bien qu’une nouveauté très pointue, et c’est ainsi que libre et indépendante, elle balaye les idées reçues et les effets de mode sans aucune limite, avec comme mot d’ordre : faire voyager. » Pour plus d’informations, consultez le profil de Mademoiselle Ely (Pour plus d’infos dans la catégorie je cherche Dj femme paris, meilleur dj femme et djette privée prix… rendez-vous sur la plateforme Linkaband !).
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