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En savoir plus sur nos cookiesC'est fantastique ! La salle est superbe, le son est parfait, il y a de la place sur scène et les lumières sont top... c'est pour ce genre de dates qu'on fait de la musique, clairement.
Le public a super bien réagi ! Une première partie, c'est toujours délicat : d'un côté c'est une chance inouïe, une très belle exposition, mais évidemment le public ne te connait pas, et il ne vient pas pour toi. C’est vraiment à double tranchant, ça passe ou ça casse. Mais ce soir-là, les gens ont été attentifs et ont fini par bien bouger, c’était génial, tu as l’impression d’avoir réussi à convaincre, et du coup tu es en confiance sur scène pour jouer ta musique et transmettre ton univers. Plusieurs personnes sont venues nous parler après, c'était vraiment très positif pour nous !
Je n'ai pas vraiment de conseil à donner, si ce n'est qu'il faut à la fois être cohérent avec la tête d'affiche et rester soi-même. Il faut aussi savoir être humble et respectueux, tu es en première partie au Trianon c’est super et tu peux être fière mais il ne faut pas perdre de vue que tu es en première partie justement, ce n’est pas toi la tête d’affiche donc n’en fait pas trop. Bon et puis surtout il faut profiter à fond du moment ! C'est le plus important je pense.
Beaucoup de travail bien sûr, tu peux pas monter sur scène devant 1500 personnes si tu ne connais pas les paroles de tes chansons ou si le groupe n'est pas en place. Il y a toujours du stress et des incertitudes au moment de commencer, mais il faut en avoir le moins possible pour pouvoir profiter de son concert. Donc forcément, il y a beaucoup de répètes, en groupe, en duo ou même en solo, beaucoup de sorties pour rencontrer des gens et faire savoir que tu as cette date qui arrive, et ne pas avoir peur de solliciter ses partenaires pour relayer l'info.
« Il y a toujours du stress et des incertitudes au moment de commencer, mais il faut en avoir le moins possible pour pouvoir profiter de son concert. »
- Flo, chanteur The Blow Up.
On rejoue à Paris le 6 juin au Supersonic avec Joel Sarakula et Pondichery Bomb. On a besoin de multiplier les premières parties, jouer dans des salles qui offrent une belle exposition. Et publier un peu de musique, également. C'est dans les tuyaux.
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